Éduquer les enfants au cycle et importance des végétaux

Bon nombre de gens ont un petit jardin ou une véranda exploitable dans leur habitation. Si vous comptez parmi ces personnes, initiez vos enfants dès leur plus jeune âge à la plantation de fruits et légumes. Ils seront à même de comprendre le cycle de reproduction des végétaux et le fonctionnement de la nature. Vous pouvez même faire un aménagement de mini-jardin potager. Accompagnez-les ainsi au quotidien dans l’entretien et la culture des plantes. Vous pouvez d’ailleurs en faire une de vos activités préférées. Faites la semence, le désherbage et l’arrosage des plantes ensemble et faites en sorte que vos enfants puissent bien observer toutes les étapes de croissance de ses plantes.

Apprendre à admirer la beauté de la nature

Si vous en avez la possibilité, emmenez votre progéniture en milieu rural, dans des régions boisées, des jardins ou des parcs publics. Laissez-les admirer la beauté de la nature. Il faut profiter de ces instants pour leur montrer le cycle de développement de végétaux ainsi que les saisons ou encore la détermination de la durée d’existence d’un arbre. Informez-les au préalable sur la faune et la flore qu’ils pourraient rencontrer dans ces lieux, pour accentuer l’aspect ludique de cette expérimentation. Vous pouvez aussi mener une action de sensibilisation à la gestion des déchets sur les lieux lorsque vous voyez des emballages ou des plastiques jetés par terre par les visiteurs insouciants.

Guider les enfants à suivre le concept d’énergie de renouveau

Les enfants sont de nature curieuse. Éveillez plus cette curiosité en leur posant des questions sur la source de l’électricité déployée dans votre foyer. Il en est de même pour la provenance de l’énergie produisant les lumières à l’intérieur de votre maison et tous les autres matériels fonctionnant avec l’électricité. Cette remise en question quant au concept de la source électrique va vous servir de bases solides afin de sensibiliser vos enfants sur la place des énergies de renouveau.

Le GHG protocol et le CSRD

Le GHG Protocol est un ensemble de normes internationales utilisées pour quantifier les émissions de gaz à effet de serre (GES). Il a été développé par le World Resources Institute (WRI) et le World Business Council for Sustainable Development (WBCSD). Les entreprises peuvent l’utiliser pour compléter le reporting extra financier csrd.

Le GHG Protocol est composé de plusieurs standards (ou normes) qui couvrent différents aspects des émissions de Gaz à Effet de Serre.
– Corporate Standard rend compte des émissions de gaz à effet de serre des entreprises.
– Scope 3 Standard porte sur les émissions indirectes qui se produisent dans la chaîne de valeur d’une entreprise.
– Product Standard concerne les émissions liées au cycle de vie des produits.
– Policy and Action Standard évalue l’impact des politiques sur les émissions de GES.

Ces normes sont largement utilisées par les gouvernements et les entreprises pour mesurer, limiter, voire réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Elles jouent donc un rôle important dans les stratégies de lutte contre le changement climatique à l’échelle mondiale.

Une entreprise mesure ses émissions totales, directes et indirectes, de gaz à effet de serre (GES) avec le bilan carbone. Le GHG Protocol fournit un cadre méthodologique pour réaliser un bilan carbone. Il aide à quantifier les émissions de GES en se basant sur trois scopes : Scope 1 (émissions directes de l’entreprise), Scope 2 (émissions indirectes induites par l’énergie achetée), Scope 3 (Autres émissions indirectes, comme celles de la chaîne d’approvisionnement).

La CSRD exige que les entreprises fournissent des informations détaillées sur leur impact environnemental, y compris leurs émissions de GES par le biais du bilan carbone. Les entreprises peuvent utiliser le GHG Protocol pour mesurer et informer sur leurs émissions de GES, dans le but de répondre aux exigences de la CSRD. En clair, le GHG Protocol fournit les outils méthodologiques pour réaliser un bilan carbone, tandis que la CSRD crée un cadre réglementaire dans lequel les entreprises européennes doivent présenter ces informations.

GRI 305 et CSRD

Le GRI 305 fait partie des normes du Global Reporting Initiative (GRI). Ce dernier est le cadre international de réalisation de reporting en matière de développement durable. Le GRI 305 guide les entreprises lorsqu’ils effectuent le reporting de leurs émissions de gaz à effet de serre (GES), une exigence de la CSRD. Ces émissions proviennent de sources qui sont contrôlées ou détenues par l’entreprise (Scope 1). C’est le cas des véhicules de l’entreprise. Elles résultent également de la production d’électricité, de chaleur ou de vapeur (sources d’énergie) des fournisseurs de l’entreprise. Enfin, Le GRI 305 encourage également les entreprises à présenter les émissions indirectes qui ne sont pas liées à l’énergie. Ces données rapportées aident les parties prenantes, y compris les investisseurs, à évaluer l’impact environnemental des entreprises et à prendre des décisions judicieuses.

Lessive naturelle et économique

Pourquoi chercher à fabriquer sa propre lessive alors que celles proposées sur le marché ne coûtent pas cher au final ? Tout simplement parce que parmi les ingrédients des lessives que vous trouvez dans le commerce, il y a des polluants qui sont néfastes pour votre santé. En effet, certaines d’entre elles comportent des substances allergisantes, des tensioactifs irritants et de conservateurs. Mais certains composants polluent les écosystèmes aquatiques. Or, dans une lessive naturelle, donc, écologique, on n’y trouve que des produits naturels et sains, pour vous et votre famille et pour l’environnement. Par-dessus le marché, comme vous le faites vous-même, elle coûte moins cher.

Ce que contient une lessive écologique

La base de la lessive écologique que vous allez fabriquer est le savon de Marseille à l’huile d’olive. Ce type de savon est détachant, lavant bien sûr et aussi hypoallergénique. Choisissez celui qui contient au moins 72 % d’huile végétale et sans glycérine. Un autre composant d’une lessive écologique, c’est le bicarbonate de soude qui est à la fois désodorisant, nettoyant (parfait pour enlever et faire disparaître les taches de sang et les taches de fruits rouges) et assouplissant. Même pour les peaux sensibles, le bicarbonate de soude n’est ni irritant ni allergisant. Vous pouvez ajouter des cristaux de soude, histoire de renforcer l’action nettoyante du savon et également des huiles essentielles pour désinfecter et parfumer.

Les bâtiments auxquels s’applique le décret tertiaire

Il est utile d’avoir des informations fiables sur le décret tertiaire qui s’applique aux bâtiments concernés. Toutefois, il faut signaler que :des modulations sont possibles dans certaines circonstances. Cela vous permet de savoir si vous devez aussi vous conformer à ce décret. Voici donc un petit rappel à ce propos. Le décret tertiaire a pour but d’améliorer la consommation énergétique du parc tertiaire du pays. Ceci entre dans le cadre de l’objectif national de neutralité carbone d’ici 2050. En fait, c’est ce décret qui définit les modalités d’application de la loi ELAN. ELAN signifie Evolution du logement, de l’aménagement et du numérique. Cette loi a été votée le 23 novembre 2018 et elle vise les bâtiments à usage tertiaire, qu’ils soient publics ou privés. Pour le dire simplement, le décret tertiaire vise l’économie d’énergie dans le tertiaire. Il incombe aux acteurs de ce secteur d’œuvrer pour l’atteinte de cet objectif, ce qui contribuera à la lutte contre le changement climatique.

Les acteurs en question sont autant les propriétaires que les occupants, même s’ils ne sont pas propriétaires de ces bâtiments. De quels bâtiments exactement ? Ce sont les bâtiments tertiaires d’une superficie équivalente ou supérieure à 1 000 m². Il s’agit des établissements bancaires et des établissements d’enseignement. Sont également concernés les administrations ainsi que les établissements de santé. Les commerces, les restaurants et les hôtels sont aussi sur la liste des bâtiments tertiaires, il en est de même des entrepôts. Et en effet, il existe des bâtiments qui ne sont pas concernés par ce décret. Parmi eux, il y a certains bâtiments de la Défense, de la Sécurité civile et de la Sûreté Intérieure du territoire. Les lieux de culte en sont également exemptés, de même que les bâtiments provisoires.

Avez-vous un bâtiment concerné par le décret tertiaire ?

Toutes les bâtisses concernées par le décret tertiaire sont dans l’obligation de tout faire pour atteindre une sobriété énergétique. Ci-après des informations complémentaires à propos du décret Eco Energie Tertiaire du bâtiment concerné. La surface minimale pour en être assujetti est 1 000 m², mais que savoir d’autre à ce propos ?

Cette superficie s’entend au plancher, qu’elle soit cumulée ou d’un seul tenant. Par ailleurs, il est à rappeler que les bâtiments dont on parle sont dédiés aux activités tertiaires. Celles-ci comprennent les parcs d’exposition, les parkings souterrains ou en silo, les salles et infrastructures de sport (gymnase etc.). Les salles de serveurs et les data centers sont aussi concernés, le secteur audiovisuel et les imprimeries. Il en est de même des locaux liés à la logistique et des commerces et services. Pareillement pour les blanchisseries industrielles et les établissements médico-sociaux.

Quid des autres activités du tertiaire comme l’accueil de la petite enfance, les palais de justice et les centres pénitentiaires ? Ajoutez-y les résidences de tourisme, les lieux dédiés à la culture et au transport et les locaux de réparation ou d’entretien de véhicules. Vous êtes assujetti, que vous soyez propriétaire occupant, locataire, syndic de copropriété ou bailleur.

Les avantages du reboisement

Les arbres sont bénéfiques à l’homme pour la production de l’oxygène et le stockage des dioxydes de carbone ou CO2. Ils peuvent aussi produire de la nourriture, des bois de construction, des remèdes. La forêt nous offre un environnement sain et paisible pour se détendre. Les arbres contribuent à purifier l’air et l’atmosphère, et par conséquent la couche d’ozone..
Le nombre décroissant d’ arbres est néfaste pour la planète. Les changements climatiques que nous sommes actuellement en train de vivre sont dus à la déforestation. Inconsciemment, l’homme est acteur de sa propre destruction, mais aussi de celle de la planète. L’insuffisance de forêt laisse les dioxydes de carbone libres de se propager et de détruire l’atmosphère.

Les causes de disparition des arbres

Les hommes sont les premiers responsables de la déforestation. Ils coupent les arbres sans les replanter après. Un phénomène appelé “ Feu de brousse” est aussi à l’origine du réchauffement climatique. Il y a également les usines et leurs rejets de produits chimiques dans la nature.

Les conséquences sur le milieu naturel

La dissolution d’habitat naturel pour certaines espèces est la conséquence directe de cette déforestation. Les animaux sont privés de leurs habitats et beaucoup sont en voie de disparition. Le sol devient de plus en plus stérile, sans compter les éboulements de terre. L’équilibre environnemental sera ébranlé avec la pollution des cours d’eau, de la mer et de l’environnement en général.

L’enjeu du reboisement

Son but ultime est la création de nouvelle génération de plantation pour garder la stabilité écologique. C’est un moyen efficace de remplacer les arbres abattus. C’est une perspective qui vise à reconstituer des endroits qui, autrefois peuplés de forêts, ont disparu. Les endroits riches en forêt sont de plus en plus rares de nos jours en raison du manque d’insouciance du premier concerné : l’homme.

Les détergents courants ne sont-ils pas respectueux de l’environnement ?

Beaucoup d’entre eux ne le sont pas pour diverses raisons. La première est que l’utilisation expresse d’énergies renouvelables et l’optimisation du procédé pour réduire l’empreinte carbone dans l’atmosphère n’ont pas été prises en compte dans leur préparation. Mais il faut aussi tenir compte des ingrédients entrant dans leur fabrication.

Par ailleurs, dans les détergents classiques, certaines substances sont dérivées du pétrole. Elles sont donc non durables. De plus, elles se dégradent très lentement. Autrement dit, ces substances sont non-biodégradables.

Certains détergents industriels contiennent aussi des phosphates. Ces matières ont un impact très négatif sur les milieux aquatiques. Ils sont un nutriment important pour les algues qui, de cette manière, poussent à profusion et volent la lumière des plantes, des rivières et des lacs. Cela provoque un phénomène connu sous le nom d’eutrophisation, qui tue les communautés aquatiques.

Il y a aussi la présence d’agents détartrants, qui sont généralement des acides corrosifs. Ils agissent sur les salissures les plus résistantes. Ces acides, généralement à forte dose, se retrouvent également dans le milieu aquatique via l’eau des stations d’épuration, acidifiant les aquifères et tuant de nombreuses formes de vie.

Les agents de blanchiment contenus dans certains détergents sont également des acides ou des bases caustiques très agressifs. Pour se faire une idée, si l’étiquetage indique qu’il faut utiliser le produit avec des gants et surveiller le contact avec les yeux et les muqueuses, imaginons comment cela va affecter l’environnement.

À quoi ressemble un produit de nettoyage écologique ?

Pour commencer, il doit contenir des tensioactifs naturels. Ces éléments sont généralement dérivés de l’huile de coco, de la saponaire et d’autres produits obtenus directement à partir d’extraits de plantes. Aussi, ces composants doivent être obtenus selon les « méthodes traditionnelles », sans l’utilisation d’enzymes. En effet, ces composés, qui catalysent des réactions chimiques, peuvent agir comme des perturbateurs endocriniens dans les milieux aquatiques, et même chez l’homme.

D’autre part, les agents de blanchiment doivent également être des substances naturelles, telles que le bicarbonate, le citron, etc. Ils utilisent également des parfums naturels, généralement des huiles essentielles de plantes aromatiques, qui sont aussi bactéricides. En général, les ingrédients qui les composent doivent être hautement biodégradables, ainsi que les emballages dans lesquels ils se trouvent.

Par ailleurs, les substances d’origine végétale doivent prévaloir parmi les composants du produit. L’étiquetage doit comporter des informations détaillées sur les ingrédients, ainsi que leur origine. Enfin, il doit y être mentionné qu’ils sont fabriqués à faible coût énergétique, en utilisant une énergie propre et qu’ils sont conçus pour protéger l’environnement.

Si le produit répond à ces exigences, il peut figurer sur leur étiquetage le label écologique européen, EcoLabel, créé par l’Union européenne en 1992. Cela garantit la provenance et le respect de l’environnement de certains procédés de fabrication de ses ingrédients.
Si le label EcoLabel, une fleur formée avec les étoiles bleues des états européens, n’est pas présent : le produit ne peut pas être considéré comme biologique. De ce fait, vous n’avez aucune garantie officielle. Vous souhaitez élargir vos connaissances sur le thème de l’écologie? N’hésitez pas à visiter le site mamaisonmasante.fr pour en savoir un peu plus. Sachant que l’écologie occupe une place très importante actuellement dans notre société.

Les pratiques agricoles

Enfin abordé sur le tapis, le sujet de l’écologie dans l’industrie agricole est de plus en plus pris au sérieux. En effet, ce secteur est l’un des plus grandes sources d’émission de gaz à effet de serre et de perturbations de la biodiversité. Depuis 2018, les choses avancent doucement en matière d’agriculture raisonnée et de pratiques agricoles. On propose des alternatifs à l’usage abusif des sols ou des problèmes des pesticides.

L’interdiction des voitures polluantes

On constate une vague d’actions qui se met en place dans plusieurs villes pour agir contre l’utilisation déraisonnée de la voiture polluante. Afin de pousser les usagers à privilégier les transports en commun, il y a eu :

• Une politique de facilitation d’accès aux transports en commun jusqu’à une gratuité totale, comme à Dunkerque
• Le payement de péage urbain qui incite alors au covoiturage

Dans quelques grandes villes comme Oslo, Madrid, Paris ou Copenhague, l’annonce de mesures strictes destinées à réduire l’usage de la voiture personnelle a été faite.

Les influenceurs se mettent au vert

L’engagement assumé des influenceurs qui se sont appropriés des sujets traitant l’environnement a marqué les esprits. En effet, ces personnalités influentes se prennent au jeu et profitent de leur avantage médiatique pour répandre de bonnes paroles et les bons gestes écolos. On peut citer en exemple le mouvement #OnEstPrêts lancé par les YouTubeurs français pour conscientiser et changer les mentalités.

En gros, sujet abordé dans tous les réseaux sociaux et les outils médiatiques, l’écologie sensibilise et fait agir même si certains semblent encore réticents à modifier leur mode de vie.

Améliorez vos produits de nettoyage

La première chose qui vient à l’esprit lorsque l’on réfléchit à la manière de recycler les vieux vêtements en quelque chose de nouveau est de créer des produits de nettoyage tels que des serviettes et des chiffons. Si vous cherchez à recycler des t-shirts que vous ne portez plus, coupez-les en bandes et utilisez-les pour polir des surfaces. Veillez à couper tous les éléments décoratifs tels que les boutons, les fermetures éclair ou les décorations, car ils pourraient rayer les surfaces.

Recyclez les vieux t-shirts en nouveaux vêtements

Ce processus peut être aussi facile ou compliqué que vous le souhaitez, en fonction de vos compétences. Parmi les idées faciles, on peut transformer de longs t-shirts en capes de super-héros pour les enfants. Il suffit de couper les manches, puis de couper l’arrière du haut. Retournez les extrémités et cousez pour créer une couture et coupez à travers le col pour qu’il puisse être attaché et détaché facilement.

Recyclez vos vieux vêtements pour en faire des isolants

Les vieux vêtements peuvent être utilisés dans la maison longtemps après que vous ayez cessé de les porter. Si un courant d’air passe par une fenêtre ou un encadrement de porte et que vous n’avez pas les moyens de le remplacer ou d’investir dans une isolation, essayez de fourrer un tissu épais dans la fente comme solution temporaire.

En isolant votre logement, vous allez avoir un peu plus de fraîcheur quand les températures montent et un peu plus de chaleur quand elles descendent.

Dans cet article, nous allons vous présenter les solutions pour bien isoler votre maison à La Réunion.

Les normes d’isolation pour l’île de la Réunion

Comme cette île est un département d’outre-mer français, les normes d’isolation sont les mêmes qu’en France. Avec toutes ces obligations en termes d’ isolation thermique à la Réunion, on se perd parfois.

On peut les résumer en deux grands points :

– La Réglementation Thermique 2005 est valable pour toutes les constructions ayant un permis de construire daté entre le 1er septembre 2006 et le 31 décembre 2012.

– La Réglementation Thermique 2012 est applicable aux constructions dont le permis de construire date d’après le 1er janvier 2013. Ces logements ne doivent pas avoir un plafond énergétique en dessous de 50 kWhep/m² par an.

Cependant, pour isoler son logement à La Réunion, il faut prendre en compte le climat particulier de l’île.

Faire un diagnostic de performance énergétique

Ça y est, vous vous êtes décidés à engager des travaux pour isoler votre habitation. Ne vous précipitez pas, car pour une bonne isolation, il faut passer par la case du diagnostic de performance énergétique.

Cette évaluation doit être réalisée par un artisan ou un diagnostiqueur professionnel si vous voulez avoir des aides pour ces travaux. Cet intervenant utilisera un appareil spécifique pour voir les pires ponts thermiques de votre logement.

Il pourra par la suite vous donner les éléments qui ont besoin d’être isolés. En fonction de votre budget, ce professionnel pourra également prioriser les éléments qui ont besoin d’être traités.

Même si vous avez assez d’économies pour améliorer la performance énergétique de votre maison, vous n’êtes pas obligé d’isoler l’intégralité de la construction.

Une fois le diagnostic de performance énergétique réalisé, le professionnel pourra vous proposer la meilleure solution pour entreprendre les travaux.

Il vous donnera également les isolants les plus adaptés à votre logement à La Réunion.

Qui peut intervenir pour cette isolation ?

Comme nous l’avons déjà évoqué ci-dessus, le diagnostic peut être réalisé par un artisan ou par un diagnostiqueur professionnel. Ce sont deux intervenants qui peuvent réaliser les travaux d’isolation par la suite.

Cependant, vous ne pouvez pas espérer avoir d’aides si cet intervenant n’a pas de certification RGE et que les matériaux qu’il propose ne sont pas conformes aux normes.

Il est à préciser que ces artisans et professionnels ayant la certification RGE ont suivi une formation de plusieurs jours axés sur l’isolation, le chauffage et l’installation des équipements d’énergie renouvelable.

Pour trouver cet intervenant, vous pouvez contacter l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie Direction Régionale Réunion-Mayotte.

Vous pouvez également retrouver des artisans certifiés RGE sur le site du service public de la rénovation énergétique FAIRE, de l’organisme de qualification et de certification BTP Qualibat ou du portail des installateurs d’énergies renouvelables RGE Qualit’EnR.

Bien sélectionner ses isolants

Si vous comptez déposer une demande d’aides, de primes ou de subventions pour ces travaux d’isolation, il est impératif que les matériaux isolants proposés soient conformes aux normes.

Comme vous avez contacté un expert de l’isolation, il vous proposera sûrement des matériaux qui sont à la fois conformes aux normes et adaptés à votre logement pour assurer une performance énergétique optimale.

Le choix des isolants va dépendre de l’espace à travailler. S’il s’agit des combles, on peut vous recommander les panneaux qui peuvent très bien s’utiliser tant en intérieur qu’en extérieur.

Pour ce qui est de la matière, il est préférable de se tourner vers les isolants écologiques comme la laine de verre, la fibre de bois ou encore la laine de roche. Ne soyez pas non plus avare par rapport à l’épaisseur de l’isolant, car il joue un rôle important dans la performance de l’isolation.

Quid des aides ?

Pour ces travaux, le professionnel a sûrement établi un devis. Le montant n’est-il pas à la portée de votre budget ? Ne vous inquiétez pas, l’État est à vos côtés pour la réalisation de ces travaux qui touchent à l’isolation de votre maison à La Réunion.

Pour financer ce projet, vous pouvez contacter votre banquier pour avoir un PTZ+. L’Agence nationale de l’habitat La Réunion vous ouvre également ses portes pour une demande de subvention.

Les Réunionnais bénéficient également du Pacte d’énergie solidaire et vous pouvez en profiter pour engager des travaux d’isolation intégrale de votre logement pour un euro seulement.

Si les travaux sont déjà engagés, vous pouvez avoir un remboursement partiel des travaux grâce à la prime isolation ou le chèque énergie.

La préparation avant le voyage

Si vous devez faire un long trajet pour arriver jusqu’à l’aéroport, pensez à prendre quelque chose de chez vous pour ne pas être tenté par les produits du distributeur. Vous pouvez prendre des biscuits fait maison, un sandwich emballé dans un tissu imperméable et une gourde ayant une contenance d’un litre au maximum remplie de jus naturel. Pour ceux qui voyagent avec les enfants, il sera difficile de passer devant une viennoiserie ou une sandwicherie sans rien prendre. Pour vos achats, prenez une timbale ou un verre en inox et un sac en tissu. Pour éviter les serviettes jetables, emportez avec vous un mouchoir en tissu ou une petite serviette.

A l’aéroport

Avant votre décollage, vous allez devoir passer un bon bout de temps à l’aéroport et c’est là que vous devez apprendre à refuser. Lorsqu’on vous propose un café, par exemple, demandez qu’on vous le mette dans votre gobelet. Vous n’êtes pas non plus obligé d’accepter la serviette en papier, car vous pouvez utiliser votre mouchoir en tissu. Si vous décidez de faire une petite balade dans l’aéroport, évitez de vous laisser tenter par les produits des boutiques Duty-Free, aussi abordables qu’ils peuvent être. Posez-vous les bonnes questions avant de prendre un panier et de passer à la caisse. Avant de passer à la douane, pensez à vider votre gourde. Si elle fait moins d’un litre, vous ne devez pas avoir de problèmes. Une fois la douane passée, vous pouvez passer aux toilettes de la salle d’embarquement pour la remplir.

Dans l’avion

Si vous prenez un long vol, vous n’avez pas vraiment le choix, car vous devez prendre au moins un repas qui est composé d’aliments suremballés. Dites-vous que ce sera du gaspillage alimentaire aussi si vous le refusez. Vous pouvez tout de même demander à être servi dans votre propre gobelet et votre propre tupperware.